Auri II : Those we don’t speak of est un album du groupe composé par Tuomas Holopainen, Troy Donockley et Johanna Kurkela. Aérien, épique, folklorique, il s’est révélé bien loin de ce que j’attendais. J’ai pris beaucoup de plaisir à écouter cet opus, qui s’apprécie comme une longue ballade.
L’album s’ouvre sur le titre éponyme Those we don’t speak of, une introduction très douce où se posent des chœurs féminins éthérés. The valley poursuit dans cette ambiance féminine planante. Vents et chants d’oiseaux ponctuent le morceaux, tandis que des sonorités celtes un peu plus dansantes s’invitent avec les instruments à vent.
The duty of dust est l’un de mes morceaux préférés. Il commence comme une berceuse, tant dans les sonorités que dans le rythme. Entre ses accords féériques s’intercale un passage un peu plus dansant. Ce titre signe également l’introduction des chœurs masculins.
Pearl Diving est sans doute la chanson qui m’a le moins plu. C’est la plus pop de l’album, et elle se montre beaucoup plus conventionnelle, au niveau des mélodies comme dans l’instrumental.
Un peu plus loin, Light and flood s’écoute comme on voyage. On se croirait dans les forêts magiques des pays celtes, entre passages épiques et romantisme. Les voix séraphiques, les violons, la harpe… Tout nous ramène à une nature féérique et enchanteresse. J’ai vraiment apprécié ce morceau.
La dernière chanson de l’album, Fireside bard, vient clore cet album tout en douceur avec une ballade aux sonorités celtiques.
Auri II : Those we don’t speak of est donc un album enchanteur et éthéré, que j’ai pris beaucoup de plaisir à écouter !