« C’était demain » : cette formule merveilleusement bien trouvée, jusqu’à présent titre d’un roman de Karl Alexander porté à l’écran par Nicolas Meyer, a été fort justement reprise par Jean-Marc Rigaux pour un recueil de contes fantastiques décrivant, entre autres, un individu qui ne se souvient de rien d’autre que de son futur. On aura sans doute tout intérêt à s’intéresser à cette nouveauté des éditions « Murmure des Soirs », qui publient depuis un moment de minces et précieux volumes (Thomas Owen, Alain Dartevelle) fortement imprégnés de fantastique.
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