The Hands of Time – The PictureBooks

Il fait beau les jours rallongent et on a envie de faire balade loin. J’ai la playlist qu’il faut, ou plutôt un bout de la playslist, avec les très bons The Picture Books. Il s’agit d’un duo allemand de Classique rock, tendance stoner avec un son aussi frais que The Vintage Caravan. J’ai eu du mal a trouvé des mots suffisant pour rédiger cette chronique donc elle sera assez concise. Pourquoi Parce que ce The Hands of Time est tout simplement un médicament à prendre en intra, tellement il est dynamique et énergisant.

 

L’album The Hands of Time a été masterisé par Brian Lucey au Magic Garden, qui a déjà officié sur les albums de The Black Keys, Ghost ou Marilyn Manson, entre autres. La thématique générale de cet opus est au sujet de l’acceptation, et la célébration de la vérité ni plus ni moins : les hauts et des bas de la vie, les pleurs et les rires et l’amitié profonde entre les deux membres du groupe Fynn Grabke et Philipp Mirtschink.

Dans cet album il y a des petits ovnis comme le morceau d’ouverture Horse Of Fire qui est chanté complètement a capella, ou Rain qui est digne d’une B.O de western façon Sergio Leone.

On trouve ces titres qui restent coincés dans votre tête pendant plusieurs jours voir semaines comme Like My World Explodes, The day The Thunder Arrives ou Howling Wolf un morceau façon El Camino des Black keys : du bon rock classique ultra efficace. Un refrain très prenant une superbe énergie, c’est un titre électrisant. Il s’agit du premier single sorti qui raconte l’histoire de la vie des deux acolytes : deux paumés originaires d’une petite ville en route pour conquérir le monde, rien que ça. Je vous laisse apprécier

Parmi tous les bons morceaux de l’album, deux sont particulièrement intéressants. Le premier est The Hands Of Time. Un morceau très énergique qui fleure bon le sud des Etats-Unis, c’est de la bonne country. Pour moi c’est un titre qui tire vers du Creedence et ses influences du Bayou. Le second You Can’t Let Go (feat. ) est aussi titre country, un peu negro spiritual. Le duo avec Chrissie Hynde des Pretenders est très sympa et sa voix est puissante. Pour la petite histoire, il s’agit du premier featuring pour le groupe qui n’aurait jamais eu lieu s’ils ne s’étaient pas rencontré à Saint Tropez lors d’un concert.

Le classique rock étant leur marque de fabrique, il aurait été dommage de ne pas en entendre plus, Electric Nights c’est le titre qui reste en tête par excellence. C’est le premier morceau que j’ai trouvé d’eux sur internet est il assure méchamment, Lizard est plus modéré niveau énergie et nous emmène doucement vers le titre suivant Tell Me Lies, une ballade, parce qu’il en faut une quand même. L’album se termine avec The Rising Fall, qui m’a moins enthousiasmé mais qui reste très sympa.

Un bon album qui donne la patate qui sent la route 66, Ils savent comment transmettre leur énergie et leur dynamisme. J’aime beaucoup! Je serai curieuse de les voir en live et de pouvoir m’éclater avec les autres fans sur leurs titres!
En attendant allez-y ouvrez les fenêtres et dansez!

The Hands of Time
The Picture Books
2019

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