Nous avons rencontré Gabriel Katz, auteur à succès, durant le Salon Fantastique 2018.
Peux-tu nous présenter ton dernier roman ?
Mon dernier roman sort dans deux semaines, et c’est un roman de littérature générale. Cela n’a totalement rien à voir avec ce que j’ai fait avant, et il sort en même temps qu’un film qui se nomme Au bout des doigts. C’est une histoire de pianiste, un petit gars de banlieue qui joue dans une gare, et il se fait remarquer par un directeur de conservatoire. C’est une petite racaille, donc ça va être un peu difficile. Ca n’a vraiment rien à voir avec ce que j’ai fait avant.
Sinon il y a le second tome de La Part des Ombres qui est sorti récemment. La Part des Ombres c’est un holster, un bouquin qui rassemble un personnage de chacune de mes séries : Le Puits des mémoires, Aeternia et La Maîtresse de guerre. Ils se battent à peu près comme ils peuvent pour renverser un régime, ce qui à trois est très facile.
Comment t’est venu le virus de l’écriture ?
Je ne me souviens pas, j’étais trop petit. J’écrivais sur des cahiers au lieu de bosser à l’école, mais je me souviens pas vraiment de quand et comment.
Quelles sont tes sources d’inspiration ?
On va dire un truc, c’est qu’avant d’écrire de la fantasy, je n’ai jamais lu un livre de fantasy. Enfin si, j’avais lu Le Seigneur des anneaux, que je n’avais pas aimé, honte sur moi. Puis je me suis mis à lire de la fantasy à partir du moment où j’en écrivais. J’ai lu Depotte, Pevel, Olivier Gay, j’ai lu Estelle Faye, mais au moment où je suis rentré dans le milieu. Donc mes influences elles sont soit originaire des jeux de rôle, soit du gaming, mais pas du tout de la littérature fantasy.
Peux-tu nous parler d’un prochain projet ?
C’est absolument top secret pour le moment, mais sûrement pour le printemps, un nouveau cycle.
Dernière question : avec lequel de tes personnages voudrais-tu passer la nuit ?
J’ai failli spoiler à mort la fin de La part des ombres. Je dirais la fille du roi de Goranie.
En bonus une chronique du premier tome de la part des ombres.