Halloween: premiers frissons!

Halloween avant (ARWEN)

La fête d’Halloween prend son origine chez les Celtes. C’est une contraction de « all hallows eve » qui signifie « veille de tous les Saints ». A l’origine fête païenne, Halloween s’appelait Samain. On fêtait le passage de la saison claire à la saison sombre ; l’arrivée de l’hiver, mais aussi la nouvelle année : dans le calendrier celtique, l’année démarrait le 1er novembre. Ce jour-là, on faisait tomber les frontières entre les mondes des morts et des dieux avec celui des vivants !

A la nomination du Pape Grégoire IV, cette fête, comme toutes les autres coutumes païennes, fut sévèrement réprimée, car considérée comme une adoration de Satan et remplacée par la Toussaint dont le but est finalement le même: rendre hommage aux morts…

La fête disparut peu à peu pour laisser place à celle d’Halloween. La légende raconte l’histoire d’un Irlandais, Jack O’Lantern homme avare et méchant qui se vit réclamer son âme par le diable. Mais Jack était malin : il demanda au diable de boire un dernier verre avant de partir pour les enfers ; le diable se transformant en pièce de six pence, il resta coincé dans la bourse de Jack dont la serrure était en forme de croix. Finalement, il libéra le diable à condition qu’il lui accorde encore dix années de vie. Lorsqu’il mourut, l’entrée du paradis lui fut refusée, mais aussi celle des enfers. Jack convainquit le diable de lui donner un morceau de charbon pour éclairer son chemin. Il plaça le morceau dans un navet creusé en guise de lanterne et fut condamné à errer sur les landes irlandaises pour l’éternité. Il réapparaît chaque année, le jour de sa mort, à Halloween !

Le navet et la betterave sur les Îles Britanniques ou le rutabaga en France ont été remplacés par la citrouille en Amérique lorsque la fête fut importée dans le Nouveau Monde par les immigrants Irlandais et Ecossais. Elle devint réellement populaire en 1920.

Halloween aujourd’hui (CLÉMENTINE)

De nos jours, ce sont surtout les pays Anglophones qui fêtent Halloween le 31 octobre, comme il se doit, entendez suivant la tradition.

Mais quelle est-elle ?

Il y a deux facettes, la principale étant dévouée aux enfants. En fin d‘après-midi et début de soirée, les enfants, déguisés en créatures symboliques (Jack à la lanterne, gobelin, vampire, sorcière, loup-garou, fantôme, mort-vivant) ou contemporaine (créature de Frankenstein, zombie, momie, héros de BD etc…), vont par petits groupes ou avec un adulte sonner aux portes des maisons portant un symbole d’Halloween pour invitation (souvent une citrouille lanterne). Ils lancent à la personne qui leur ouvre « Trick or treat ! » (« Farce ou friandise ! »). Pour éviter le mauvais sort, la personne offre des bonbons. Le reste de la soirée se passe à manger les sucreries en regardant des films qui font peur ou à écouter des histoires de la bouche des adultes de la famille.

L’autre facette est réservée aux adolescents et aux adultes qui se déguisent également et se retrouvent pour une bonne soirée festive chez des amis.

Si autrefois, on mettait un point d’honneur à ce que son costume soit fait maison, le développement d’une vaste économie autour de cette fête facilité l’achat ou la location de tous types de costumes. Néanmoins, pour les enfants les plus jeunes, il arrive qu’ils puissent réaliser leur costume à l’école.

Quelle que soit la manière dont on fête Halloween, on peut facilement céder à la tradition culinaire avec des pommes d’amour, du cidre chaud, des beignets, du popcorn, de la tarte à la citrouille, de la soupe à la citrouille, de la confiture de citrouille et surtout les friandises récoltées. L’ensemble rappelle l’origine de cette fête qui annonçait l’arrivée de l’hiver et la fin des récoltes.

Depuis une petite dizaine d’année, plusieurs pays attirés par le folklore ou le rappel des racines celtiques fêtent aussi Halloween : la France, la Belgique, les Pays-Bas et même le Japon ! Mais la pure démarche commerciale et les discours catholiques qui se sont emparés de cet évènement ont vite découragé les moins passionnés. Pour l’anecdote : la Russie interdit aux écoles de célébrer Halloween !

Pourtant, quand on est fan des mondes fantastiques, quelle fête immanquable !

A LIRE (CLÉMENTINE)

_ Halloween : sorcières, lutins, fantômes et autres croquemitaines par Patrick Jézéquel et Bénédicte Morant, avec les superbes illustrations de Jean-Baptiste Monge et Erlé Ferronière – éditions Avis de Tempête

_ Fantômes, revenants et Dames Blanches par Dominique Camus

_ Les Maudits par Elian Black’Mor

_ Les Contes de Crime / Contes de Sorcières et d’Ogresses par Pierre Dubois

_ Le Livre de Satan par Katherine Quenot

_ Guide du savoir vivre survivre en compagnie des Monstres par Carine-M

_ Grimoires de Sorcières par Benjamin Lacombe

_ Le Gondolier des Ténèbres par Gudule et Xavier Colette

Sans oublier les nombreux grimoires d’Edouard Brasey !

A VOIR AUSSI (ARWEN)

Frankenweenie (DISNEY)

Génération Perdue (à partir de 12 ans)

High Spirits (à partir de 12 ans)

Killer Clowns from outta space (attention, vrai premier film d’horreur !)

Les Sorcières

Les Gremlins

La Foire des Ténèbres  (DISNEY)

Les Noces Funèbres (Disney)

Les étranges pouvoirs de ParaNorman

Hotel Transylvania

Troll

La Tour de la Terreur (DISNEY)

La famille Addams et la suite Les Valeurs de la famille Addams

Coraline

Fantômes contre Fantômes

Beetlejuice

Séries : Chair de Poule, Fais-moi Peur, Les Contes de la Crypte

 

Halloween est devenue un jour incontournable pour voir ou revoir des films d’horreur et se faire peur le jour où toutes les créatures maléfiques sortent de leurs territoires. Mais quand on est un enfant, si se faire peur est une envie irrépressible, il faut savoir choisir les bons films qui tout en donnant les premiers frissons ne traumatiseront pas à vie !

Voici quelques pistes de visionnage pour le jour le plus creepy de l’année, présentées par vos humbles goules Clémentine et Arwen!

SOS FANTÔMES (1985)

SOS Fantômes

Les docteurs – chercheurs Venkman, Stantz et Spengler sont des originaux… tellement hors catégorie avec leurs idées et leurs recherches sur le monde du paranormal qu’ils sont renvoyés de l’université. Dès lors, il leur faut non seulement trouver de quoi vivre mais plus important à leurs yeux prouver qu’ils ont raison. Ils montent alors leur propre entreprise de chasseurs de fantômes, SOS Fantômes. Une ancienne caserne de pompiers sert de bureaux, un vieux corbillard est recyclé en voiture d’intervention, leur matériel de traque et d’élimination est le fruit de leur propre travail top secret ! Ils embauchent une secrétaire et deux auxiliaires techniques. S’ils passent dans un premier temps pour des rigolos, les appels au standard de secours deviennent soudain plus nombreux à mesure qu’un puissant esprit maléfique tente de pénétrer notre monde, au cœur de New York, et avec lui toute une armée de fantômes débarque !

Du suspense, des gags, des frissons, de l’action, SOS Fantômes reste LE film popcorn sur les fantômes, idéal à regarder pour se faire peur avec douceur et surtout s’amuser. Les effets spéciaux ont un peu vieilli mais ils restent à la hauteur de l’histoire et de ce monument culte des années 80 (meilleur film fantastique 1985).

sos

L’originalité du scénario pour l’époque n’étonnera pas car elle est née de la collaboration magique de Dan Aykroyd et John Belushi, les deux créateurs des Blues Brothers. A la mort de Belushi, Aykroyd a persisté, ce film devait voir le jour. Rejoint par Harold Ramis et Bill Murray au pouvoir comique évident, ils ont ainsi donné naissance à un film culte.

Les ingrédients de films de terreur sont là mais mêlés à de l’action et surtout à un humour décapant. Même la moitié des fantômes, lorsque l’on en aperçoit la véritable forme, fait sourire et on a bien envie de voir la bagarre avec les intrépides chasseurs !

Franchement, un Halloween familial sans ce film serait un peu raté.

La petite boutique des horreurs (1986)

La petite boutique des horreurs

Seymour, jeune garçon timide et maladroit qui travaille chez un fleuriste, Mr Mushnik, a créé une plante hybride qu’il a baptisé Audrey Jr, en hommage à la fille de son cœur. Mais Seymour découvre que sa plante se nourrit de sang humain, obligeant le jeune homme à devenir un assassin…

Remake d’un film de 1960, La petite boutique des horreurs est une comédie musicale horrifique… qui n’a rien d ‘horrifique ! Finalement, la grosse plante carnivore à l’accent d’un black de ghetto ne fait jamais peur et la comédie prend le dessus sur l’ensemble.

plante

On retrouve une ambiance années 80 aussi bien dans la musique que le ton utilisé. Les décors sont assez bien gérés et on a une belle reconstitution des années 60. Le côté musical du film est très agréable même s’il y a au final trop de chansons venant polluer l’intrigue.

girls

(on notera à droite de cette image la présence de Tisha Campbell, la mère dans Ma famille d’abord !)

Il est très difficile de s’intéresser à l’histoire, car le personnage n’a aucun objectif pendant 1h ; il ne se bouge que pendant les 30 dernières minutes du film ! On ne voit à l’écran qu’une suite d’évènements plus ou moins comiques manquant cruellement de cohérence. On notera quand même une tentative de critique de l’époque avec l’arrivée des ghettos et la place de la femme dans la société américaine. Bien gérée, cette critique intégrée à une intrigue horrifique aurait pu fonctionner.

Les personnages ne sont pas très intéressants. Le protagoniste n’est pas attachant : il est définitivement trop bête !

héros

Ellen Greene est INSUPPORTABLE ! Jouant constamment sur les clichés des femmes des années 60, elle prend un accent de dégénéré jusqu’à la fin du film et ne suit aucune évolution.

ellen green

Les séquences avec Steve Martin sont toujours too much, à la limite du ridicule et viennent casser l’humour installé. Sa séquence avec Bill Murray fait pitié !

steve martinCONCLUSION

A l’époque, La petite boutique des horreurs devait plaire aux enfants de 8 à 12 ans de par la présence de cette horrible plante carnivore qui tente de manger les fesses d’une secrétaire ! Mais la génération actuelle risque de ne pas comprendre l’humour et surtout de s’ennuyer fermement.

Un remake de la Warner Bros est prévu avec Joseph Gordon-Levitt dans le rôle principal…

A écouter quand même :

http://www.youtube.com/watch?v=EOdqriSeY7k

The Monster Squad (1987)

Monster Squad

Dracula est en vie et il veut dominer le monde, pour cela il demande l’aide d’autres monstres légendaires. Cependant, un groupe d’adolescents fans de monstres et considérés comme des loosers, déjouent son plan machiavélique et préparent une contre-attaque.

The Monster Squad est un véritable petit film d’Halloween pour enfants ; un joyeux mélange entre Les Goonies et La Momie !

D’abord, même si ce n’est pas facile pour les plus jeunes, c’est un film à regarder en VOSTFR, car la VF est franchement mauvaise ; très étonnant, car les films des années 80 sont en général bien doublés…

Le film est vraiment regardable en famille, mais pas avant 9 ans, car quelques passages sont un peu flippants (les goules ou le loup-garou qui s’écrase au sol) et on notera des sous-entendus sexuels non adaptés aux plus jeunes.

On retrouve une ambiance de potes chère aux films de cette époque avec beaucoup d’humour, mais aussi d’émotions dès l’apparition de Frankenstein.

squad

Le film a plutôt bien vieilli malgré quelques effets spéciaux datés, mais les maquillages par exemple sont assez réalistes. De plus, on est plongé dans une ambiance typique d’Halloween : une ambiance de monstres creepy, mais décontractée avec de l’humour et de la tendresse. On se fait peur, mais on n’est pas dégoûté par ce que l’on voit à l’écran !

frankenstein

Ce qui pêche finalement c’est le méchant Dracula pas charismatique pour un sou et assez ridicule. Liam Neeson aurait dû tenir le rôle et avec lui on aurait certainement eu un film supérieurement bon !

monstres

Autre chose : si l’on a le droit à plusieurs gags bien sentis avec la Momie (« Y a une momie dans mon placard » et le gag des bandelettes dans la voiture), le Monstre du Lac Noir lui ne sert absolument à rien alors que le réalisateur aurait pu jouer avec les peurs de l’eau.

CONCLUSION

The Monster Squad est un véritable film d’Halloween écrit notamment par Shane Black, Monsieur L’Arme Fatale ! Pas étonnant donc que le scénario tienne la route et reprenne les monstres de la Hammer que les enfants découvriront et les grands retrouveront avec plaisir.

HOCUS POCUS, les trois sorcières (1993)

Hocus Pocus Les Trois Sorcieres

1693, village de Salem. Les trois sœurs Sanderson sont accusées de sorcellerie et condamnées à la pendaison. Plaisanterie ! Elles jurent de revenir se venger.

1993, ville de Salem. Le jeune Max vient d’emménager dans cette petite bourgade, laissant derrière lui Los Angeles, ses amis et tout ce qui fait ses passions. Mais… il commence à changer d’avis en rencontrant la jolie Alison dans son nouveau bahut et se dit qu’une invitation pour le soir d’Halloween serait l’occasion idéale. Quoique… Max se retrouve obligé d’accompagner sa petite sœur dans sa tournée des maisons du voisinage, en quête de bonbons. Heureusement, Alison est de la partie. Une promenade charmante mais qui promet d’être d’un ennui navrant jusqu’à ce qu’ils abordent une maison, celle des sœurs Sanderson ! Gaffeur, Max commet une grave erreur qui les ramène à la vie. Bien décidées à se venger, les trois sorcières entreprennent de tuer les enfants de Salem, seul moyen pour elles de garder jeunesse et vie éternelle… Max pourrait-il les en empêcher ?

Un bon Disney plein de bonne humeur, de séquences comiques, assaisonnées d’un zest de suspense, de petits moments et de répliques qui font se dresser les cheveux sur la tête. Avec ce scénario très édulcoré de la légende des sorcières de Salem, Hocus Pocus s’adresse directement aux enfants. Bette Midler, Sarah Jessica Parker et Kathy Najimy occupent le devant de la scène avec brio et font tout le film.

sorcières

Entre maquillage inquiétant, incantations magiques, gags (un aspirateur remplacera le traditionnel balai pour l’ainée, la gourmande croira que le liquide vaisselle est une douceur, la plus jeune drague le papy du coin), chansons ré-interprétées sur un ton « whooo qui sont les méchantes sorcières », envoûtement de la population, chaudrons fumants et autres espiègleries qui ne font rire qu’elles, elles campent trois sœurs sorcières comme on se les imagine enfant : tour à tour drôles, charmantes, terrifiantes. Le défi lancé à Max est attrayant, on se demande par quels moyens il va réparer son erreur d’autant qu’il n’est pas très dégourdi et n’est pas aidé…

Les décors sont un concentré « halloweenesque » délicieux de toiles d’araignées, de brumes, de couleurs, d’arbres nus et inquiétants. Les costumes affichent un échantillon de tout ce qui est possible et sympathique. La ville de Salem un rien ennuyeuse devient très fun sous l’influence des trios sœurs Sanderson. On ne se lasse de rien jusqu’à la dernière minute du film. Disney oblige, il y a une petite morale à l’histoire…

A voir en famille !

L’étrange Noël de Monsieur Jack (1994)

L'étrange Noël de Monsieur Jack

Dans le secret du monde existe une ville étrange du nom d’Halloween et dans cette cité règne Jack Skellington, l’épouvantail squelette. Il est le roi des citrouilles et occupe tout son temps à préparer l’annuelle fête d’Halloween au cours de laquelle ses sujets iront faire peur aux vivants. Pourtant, Jack est pris d’une très grande mélancolie, il aimerait que les choses soient différentes pour une fois, que la fête, sa fête, soit toute autre. En quête d’idées pour cela, il se rend chez les vivants et découvre une autre fête, celle de Noël. Bingo ! Et si cette année Halloween et ses habitants fêtaient Noël ? Mais Jack oublie que Noël ne se fête pas comme Halloween, et que des jolies guirlandes ne seront pas suffisantes, que les cadeaux aux enfants ne peuvent pas être des objets qui font peur ou des squelettes d’animaux… Et dans l’ombre, Sally dont le cœur ne bat que pour Jack cherche comment qui faire entendre raison. Pourquoi leur fête d’Halloween devrait être remplacée ?

Premier conte visuel d’animation du génial Tim Burton, L’Etrange Noël de Mr Jack est à la fois un conte, un enchantement, une aventure et une petite leçon à recevoir. Moins net et fluide que ses successeurs, ce film rappelle plus les animations de pâte à modeler qu’une animation actuelle tant les techniques ont évoluées mais il n’en reste pas moins l’un des modèles du genre et pose d’emblée le style Burton. Un conte intemporel et anachronique à la fois, un mélange atypique que le titre lui-même annonce. Il y a tout ce qui fait un bon film pour enfants : chansons, grands sentiments, fantaisie, rêverie, monde extraordinaire et personnages hauts en couleurs. Mais il y a plus : une incursion du monde supposé des ténèbres dans celui de la lumière, une vision gaie, rieuse et poétique de tout ce qui est censé faire peur.

Jack

A travers le regard de Burton, les monstres, les squelettes, les chauves-souris, les araignées, les sorcières, les créatures à la Frankenstein sont colorés, amusants, donnent envie de partager leur monde.

L’Etrange Noël de Mr Jack montre à la fois qu’il ne faut pas craindre bêtement les créatures de la nuit ou les monstres des légendes et aussi qu’il ne faut pas chercher à changer à tout ce que l’on est, qu’être différent, c’est être original et que c’est précieux.

Un film pour toute la famille, tous les âges et pour fêter dignement Halloween.

Monster House (2006)

Monster House

Personne ne prend au sérieux D.J. Walters, un petit garçon de 12 ans à l’imagination débordante. Un jour, ce dernier fait part de ses craintes au sujet de son horrible voisin qui terrorise tous les enfants du quartier. Il est en effet persuadé que celui-ci est responsable de la disparition mystérieuse de sa femme. Il a également remarqué d’autres phénomènes inquiétants se déroulant dans la maison de ce dernier. Ce que personne ne sait, c’est que D.J. n’invente rien et que cela va empirer.

Comme The Monster Squad, Monster House est un film typique pour Halloween! On retrouve d’ailleurs les mêmes ingrédients avec la bande de potes (les Goonies sont ENCORE passés par là…), une histoire d’amitié entre un maigrichon intelligent et un petit gros rigolo qui vivent une étrange aventure.

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Bien sûr, en plus de la peur, l’humour est toujours présent (d’ailleurs dans son ensemble, le film est franchement drôle !), mais également la tendresse.

Réalisé en motion capture, ce film d’animation a été produit par Zemeckis et Spielberg (on vous disait Les Goonies non ?…) ; autant vous dire que le scénario est béton ! Il s’agissait d’un second visionnage pour moi et il fonctionne toujours aussi bien. L’ambiance d’Halloween est là avec une belle référence au Scrooge de Dickens pour celui que l’on croit être le méchant…

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Le choix du monstre est vraiment original et joue sur les peurs liées aux maisons hantées et abandonnées ; à ces ruines devant lesquelles les enfants passent et s’imaginent toutes sortes d’histoires de fantômes.

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L’animation est belle, notamment les décors et les lumières, bien qu’elle ait un peu vieillie depuis (la motion capture du Scrooge de Zemeckis en 2009 avait élevé le niveau). La musique nous plonge dans l’ambiance. On notera aussi un générique de fin assez fun.

CONCLUSION

Monster House est définitivement un film d’animation à regarder et quoi de mieux que le faire le soir d’Halloween ! Et si vous ne regardiez plus votre maison comme avant…

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   JOYEUX HALLOWEEN A TOUS!!

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