Si vous avez manqué le début de cette trilogie oscillant entre polar noir et fantastique…

Après avoir joint le centre d’investigations spéciales STUNTS et intégré l’enquête sur les “ghost affairs”, James et son partenaire Teddy Anderson parviennent à acculer la coupable des meurtres en huis-clos. Mais grâce à ses capacités physiques phénoménales, cette dernière prend Teddy en otage et force James à faire un choix…
Enfin !
Enfin la suite de cette aventure. Le premier tome avait une grande et très bonne surprise. Pas de temps mort, pas de réchauffé et un scénario diablement bien ficelé nous tenant en haleine du début à la fin, nous laissant pleinement sur notre faim et notre désir de découvrir la suite. C’est chose faite avec ce second volet de la trilogie écrite par Sora Daichi.
Des voiles se lèvent sur ces affaires mystérieuses
Dès les premières pages les évènements continuent à s’enchainer et à s’intensifier. C’est brutal et direct, mais tout en gardant une touche de finesse pour la trame de l’histoire. Suite à l’assassinat par un sniper de leur Ghost arrêté, Teddy et James découvrent de les « Ghosts » sont en fait une organisation, et que cela va bien plus loin que ce qu’ils imaginaient. Pas de cas isolé, mais des meurtres bien ficelés. La difficulté en résulte de trouver l’objectif de ces malfrats et de déjouer leurs plans.
Quand le personnel devient professionnel
On le sait, les principaux protagonistes rejoignent les ghosts affair pour des raisons familiales (perte d’un soeur pour Teddy Anderson / la mort du frère de James Martin etc). Une vengeance qu’ils doivent gérer au mieux, et garder leur sang froid pour cerner aux mieux tous les indices possibles.
Des spéculations sur la signification de ces meurtres (rédemptions) par les Stunts apparaissent et des actions sont menées en binôme par l’élite des STUNTS.
Pourquoi ces changements d’apparences ? / organisation bien ficelée des ghosts
Ces meurtres, appelés ‘Rédemptions’ par les Ghosts, suivent une logique mais laquelle ? Les indices commencent à se rejoindre, mais maintenant l’objectif est clair : il faut devancer pour ne plus subir. Et c’est là que nous sommes une fois de plus tenus en haleine par Sora Daichi qui manie parfaitement le rythme et les rebondissements. On est scotché, happé par cette histoire sordide pour laquelle il n’y a pas de faux pas pour nous donner la moindre chance d’identifier le leader des Ghosts, et et ses raisons pour les meurtres réalisés avec précisions et intérêts.
Pour la réponse, il va falloir prendre notre mal en patience, et attendre le 20 novembre prochain pour découvrir le final qui on l’espère, sera grandiose et nous scotchera une bonne fois pour toute avec ces 2/3 d’une trilogie frôlant déjà la perfection. Vivement.