Death Alley + Honeymoon Disease – Gibus Live – le 8/05/2018

It was a Tuesday night fever…

Le Gibus Live, salle célèbre dans la capitale dont la réputation n’est plus à faire tellement elle est ouverte depuis longtemps. Mes parents ont passés leur jeunesse là bas, c’est pour vous dire à quel point cette salle est ancrée dans la vie parisienne.

le 8 mai dernier, c’était au tour de Honeymoon Disease et Death Alley de jouer sur cette scène du Gibus. Une soirée aux couleurs du rock et du « move », du déhanché façon Bee Gees ou Travolta, au riffs déjantés et au secouage de tête, attention, c’est parti !

Un jour férié et avec du beau temps dans Paris, c’est appréciable car les rues sont calmes et les passants se laissent aller au gré du vent… C’est donc dans ces conditions que je patiente devant le Gibus, l’ouverture des portes pour le concert de Death Alley et Honeymoon Disease.

La salle se remplie vraiment petit à petit, tellement que la programmation prend un peu de retard laissant le temps aux retardataires d’arriver tranquillement.

Pour cette première partie, place à Honeymoon Disease, tous vêtus d’un jean patte d’éléphant et d’un gilet ou veste en jean et back to the 70’s version 2.0

Honeymoon est un groupe Suédois, fondé en 2013 et composé de Jenna (chant/guitare), Acid (chant/guitare) Nick (basse) et Jimi (batterie). 2 albums à leur actif dont un sorti en 2017, ce groupe aux allures de rock/disco nous fait savoir très vite qu’ils sont fans des gros riffs et des solos de guitare.

Une danse/transe continuelle entre Jenna et Acid qui nous offre à certains moments un spectacle à la limite de l’érotisme musical, une batterie bien présente et un bassiste impossible à photographier tellement il est grand et dépasse les lumières en haut de la scène et tellement il bouge ses cheveux dans tous les sens… Ils mettent une ambiance de folie même si le public ne rempli pas la salle, mais beaucoup connaissent les chansons par cœur et on comprend pourquoi ils ont fait le déplacement. Une belle découverte pour ma part, un groupe à suivre c’est certain.

Le set fini, place à Death Alley, groupe hollandais également fondé en 2013 avec 5 albums dans leurs valises. J’ai adoré ce groupe juste pour le déhanché du chanteur Douwe Truijens . Un coup de rein incomparable, avec son tee-shirt «Alice Cooper» et son pantalon porté à la façon de Led Zeppelin (très moulant et très serré), une danse façon Saturday night fever ou encore ABBA, mais un son bien rock, bien rythmé et bien «énervé» comme on les aime.

On sent l’osmose entre les musiciens, chacun connaît sa partition et son rôle bref, ça tourne plutôt pas mal pour des habitués de la scène française car Death Alley était déjà présent au Hellfest en 2016. un groupe à ne plus manquer pour les fans de rock.

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