Call of the wild – Powerwolf

Call of the wild est un très bon album, que j’ai pris beaucoup de plaisir à écouter !

Comme à son habitude, Powerwolf nous entraîne dans son  univers peuplé de créatures et de démons. On y trouvera cette fois-ci des cryptides mythiques tels que le Varcolac (mélange de zombie et de vampire), le Faoladh (loup-garou oriental) ou encore l’emblématique bête du Gévaudan. Sans se départir de cette patte propre au groupe, l’album ne manque pas de diversité. On y trouve des morceaux riches et variés tant sur le plan des mélodies et des rythmes qu’en matière de langues (anglais, allemand ou même français sont à l’honneur !).

L’opus s’ouvre avec Faster than the flame, un excellent morceau d’introduction. Très instrumental dans ses premières mesures, le titre embraye avec du Powerwolf tel qu’on les connaît. C’est rythmé, accrocheur, bref ça passe très bien !

S’ensuit Beast of Gévaudan, partiellement chantée en français, ce qui ne gâche rien tant les rythmes que la mélodie sont excellents. Ce morceau est sans doute mon préféré de l’album, et rejoint à mon sens les meilleurs titres du groupe.

Alive or undead figure également parmi mes chansons favorites. La mélodie mélancolique posée sur des accords d’orgue et des choeurs religieux permet de prendre toute la mesure de la voix d’Attila Dorn.

J’ai aussi beaucoup apprécié Blood for blood (Faoldah), pour son aspect très festif. Sur fond d’instruments à vent qui rappellent les sonorités celtes, le titre est sans doute l’un des plus dansants. Undress to confess est également agréable à l’oreille, avec un refrain rythmé vraiment sympathique et entraînant.

J’ai un peu moins accroché sur Call of the wild, titre éponyme, et Reverent of rats, qui vient clore cet opus. L’un comme l’autre restent cependant de bons morceaux.

Call of the wild signe donc un retour de Powerwolf comme on les aime !

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