John Ethan Py, auteur, Salon Fantastique 2018

Est-ce que tu peux nous présenter ton dernier roman en date ?

Mon dernier roman s’appelle Le Miroir de Peter, il est sorti aux éditions de l’Homme sans Nom, et on est sur un thriller fantastique plutôt à caractère psychologique, dans lequel il y a une référence littéraire très marquée à Lewis Caroll au moment où il écrit Alice au pays des merveilles, et tout un roman qui va rendre hommage au cinéma hollywoodien américain.

Est-ce qu’il y a des auteurs qui t’ont particulièrement influencé ?

Stephen King, Graham Masterton, Christopher Priest au niveau de la science fiction et du fantastique… Ces trois-là essentiellement.

Le virus de l’écriture ça t’est venu comment ?

En lisant Cimetière de Stephen King. Je ne lisais pas au départ, j’aimais pas ça, et un jour je tombe sur ce curieux roman avec une couverture qui m’attire, je le lis, et là je me dis je veux écrire ça. Le songe d’Adam, c’est une réponse à Cimetière. C’est le même thème, c’est à dire qu’on est sur la terre qui ressuscite les morts, et je m’étais dit il faut que je traite ça absolument, et du coup, voilà. C’est une manière de dialoguer avec Cimetière. A lire, Cimetière ! Ça vaut le coup. C’est un roman extrêmement noir, c’est vraiment pas la marrade, hyper réaliste, très lent aussi, lent dans son développement psychologique.

Quels sont tes projets pour la suite ?

Pour l’instant, il y a une histoire encore que j’aimerais bien raconter. Elle n’est pas écrite mais il y a à peu près tout, je sais ce que je veux faire, je sais que ce sera en rapport avec Frankenstein, qu’on parlera de Mary Shelley, comment elle a conçu Frankenstein… Mais pour le moment je ne me suis pas remis au travail. C’est un projet qui est à peu près étayé, j’ai les références, il y a quelques lectures encore à peaufiner, mais bon, je ne me suis pas remis au travail d’écriture encore.

Dernière question : si tu devais vivre dans un de tes romans, ce serait lequel ?

Aucun. Au-cun. Non, c’est invivable. C’est invivable, non, c’est beaucoup trop noir. Dans Le songe d’Adam à la limite si, je ferais bien une incursion en Forêt Noire dans un chalet, oui, ça à la limite oui. Mais sinon non !

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