The Young Gods – Tchewsky and wood – La Maroquinerie – 22/03/2019

J’arrive vraiment en avance à La Maroquinerie pour être sûre de pouvoir me faire une place au devant de la scène et ne rien rater de ce concert (un grand merci au vigil pour sa gentillesse et sa compassion, pour ne pas dire pitié, envers moi, qui m’a vu attendre pendant plus d’une heure devant la porte et qui m’a gentillement fait passer devant pour que je puisse être dans les premiers à entrer dans la salle)

Une soirée pleine de douceur organisée par Melodyn avec une première partie surprenante dans une salle qui affichait complet.

La première partie s’installe tranquillement, à l’heure prévue, sur le peu d’espace qu’il reste sur scène. Tchewsky and wood est un trio, une chanteuse, un batteur et un guitariste/clavieriste. La voix est douce et nous emporte dans un univers planant, napé dans une tonalité sensuelle.

Les percussions sont telles un battement de cœur rythmant parfaitement le set.

Une belle découverte enivrante…

 

Quelques minutes de patience et The Young Gods fait son apparition. Un spot sur chacun des emplacement des musiciens s’allument laissant le reste de la scène plongée dans une presque totale obscurité et les premières notes se font entendre. Tout de suite l’ambiance est posée. Le public ferme les yeux et se laisse emporter dans une trans musicale.

Les morceaux s’enchaîne et tout l’univers du trio de The Young Gods est mis à nu sur la scène de La Maroquinerie. Tantôt rock, tantôt slow, c’est avec une musique presque hyptotisante que je découvre sereinement ce groupe.

Un plaisir un peu gâché par 2 fans venus perturber une partie du set. J’entends à un moment que ça se bouscule et s’embrouille derrière moi et je vois débarquer venu de nulle part un couple qui a priori n’avait pas la même vision et le même ressenti de l’ambiance générale en se mettant à bousculer tout le monde pour venir hurler sur le devant de la scène en n’ayant un peu rien à faire de ce qui se passe autour…

Que cela ne tienne, je me suis vite mise sur le côté pour ne pas être dérangé par ces 2 spécimens et je profite du fin de set au fond de la salle.

Une très belle soirée à l’univers calme mais rock, je ressors de La Maroquinerie avec une envie de zen…

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