Entretien avec Franky Costanza

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De passage au Hellfest 2016 pour la promotion de son groupe Blazing War Machine mais aussi pouvoir présenter sa marque de vêtement Serial Drummer présente sur le festival à l’Extrême Market. Une interview en toute décontraction, accompagné de Terrence mon acolyte.

eMaginarock : Actuellement concentré totalement sur Blazing War Machine?

Franky Costanza : Oui pas mal de projet, Blazing à fond avec pas mal d’autres projets à côté. Serial Drummer à fond, des enregistrements pour d’autres groupes. Des cours de batteries, j’en ai de plus en plus. De plus en plus de gens aiment la batterie. Tout ça mis bout à bout ça prends déjà du temps.

M. : En écoutant le premier morceau de Blazing, j’ai été surpris de la voix de la chanteuse assez différente du symphonique noté sur la description du groupe. Cela va-t-il resté ainsi ou il y aura des changements au fil des morceaux?

F.C. : On dit métal extrême symphonique car la voix reste gutturale. Cela va rester dans ce créneau avec de temps en temps des influences diverses. Le prochain morceau Nature of War est plus industriel beaucoup plus mid-tempo, un peu Rammstein sur les bords, alors que le premier est très speed.
Le dernier Liquid Chaos est plus metal extrême et Gaiden était je vais dire, black sympho.
Sur le prochain morceau, il y aura un invité pour le refrain , une chanteuse lyrique donc ça sera encore une facette différente avec une chanteuse lyrique et une extrême.
Il peut y avoir des petites variations mais la base restera ce qu’elle est actuellement.

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M. : Comment se passe l’aventure Serial Drummer et peux tu nous la présenter?

F.C. : C’est une marque que j’ai créé avec ma femme il y a dix ans de ça. Elle commence à bien fonctionné et c’est la première fois que l’on peut exposer dans un festival. Cela reste très basé sur les thèmes de la batterie et de la piraterie avec des slogans bien ciblés. On fait aussi en sorte de travailler des matières très respirantes pour les batteurs.

M. : Je suis un élève de Nicolas Bastos. Est-ce que tu vois ça comme une concurrence, au niveau de tes cours ? (question de Terrence)

F.C. : Non, pas du tout. c’est un batteur que je respecte beaucoup que je connais depuis très longtemps. Il porte fièrement les couleurs de Serial Drummer. Au niveau des cours comme on est un à Paris et un à Marseille c’est moins problématique.

M. : Pour les masterclass as-tu des propositions?

F.C. : J’ai quelques propositions. Je prends les villes où ont m’invite et je vais en développer de plus en plus.

M. : Avec tous ses projets arrives-tu à dormir?

F.C. : En ce moment pas beaucoup mais ça va dans l’ensemble oui. Tout ce qui est fait avec passion on compte pas les heures.

M. : Merci beaucoup Francky pour le temps que tu nous a accordé.

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